L’histoire des politiques culturelles ne renvoie-t-elle pas à une usure constante (et vitale) des modèles existants et donc, au devoir
d’expérimentation ? En conséquence, sur quel paradigme, sur quels outils peut-on
s’appuyer pour faire la place à une réflexion en dynamique ?
Quelle place au tiers espace ? Quels protocoles
d’expérimentation ? Quelle nécessité de « faire » et de se « regarder faire » ? Comment analyser et réfléchir les
processus de construction et d’appropriation, dans une recherche d’équilibre
constant entre singulier et collectif ?
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